vendredi 26 mars 2010

Rio de Janeiro Jour 4

Notre dimanche ã Rio s,est avéré des plus frustrantes, mais bon une journée moyenne dans la ville merveilleuse équivaut à mon avis, à une très bonne journée au Québec. D'ailleurs selon moi, ce sont justement ces journées que l'on se souvient le le plus longtemps.

Après une longue nuit devant Salgueiro, le réveil du dimanche matin a été plutôt pénible. Le priorité en se levant était d'appeler une agence afin qu'elle puisse m'amener voir le match de soccer au Maracana. Je m,explique: Le dimanche soir il avait un match au Maracana, une grande rivalité Flamengo vs Fluminense (un espe`ce de Canadiens-Maples leafs ou red Sox -Yankees)où l'ambiance allait être à son maximum, mais qui dit ambiance dit danger également. Donc, Roberta ne voulait pas vraiment y allaer et refusait que j'y aille seul, donc nous aviosn décidé de afire afafire avec une agence qui viens te chercher a l'hotel, t'amene au match et te ramene à l'hotel. Donc, vers 11h le matin on a appelé l'agence et le mec nous a dit qu'il viendrait me chercher à 16h45 et que le tout coutait 65 reais. Donc ca comprettait nos plan si on voulait sortir et visiter tout en profondeur la ville. Nous avons donc decidé de retourné voir le petit peuple, les pauvres vendeurs et la mer polllué de la plage à 3 coin de rue de notre auberge: Copacabana. pour diner nous voulions manger un plan typique brésilien et principalement carioca: la feijoada. Cependant, tous les restaurantsnous disaient qu'ils ne servaient ce plat uniquement le samedi. Première déception d ela journée.

A 16h35 on était dehors evant l'hotel et on attendait, puis 16h45 arrive...17h..17h05 et ils n'étaient toujours pas là. Roberta appelle, il lui raccroche au nez et mes espoir s,envolent je ne verrai pas de match de soccer au Maracana. Deuxième déception de la journée. Ceux qui me connaisse savent comment jai pu etre décu et faché de la situation. Pour faire passer cette frustration, nous somems aller manger au restaurant, où j'ai eu une idéée: aller voir pour de vrai la pratique d'une autre école de Samba: Mangueira. Dans le Metro, nous nous sommes fait dire que Flamengo (l'équipe la plus populaire) erdaient à 3 à 0. Nous approchions de la fin du match et du stade et la sécurité nous priais de quitté raidement la zonne de metro parce qu'il risquait d'y avoir des ravages si Flamengo perdait. Une fois dans le taxi, le chauffeur étonné que nous allions à Mangueira alors que tout le monde allais à Sapucai (lieu ou a lieu la parade du Carnaval) voir la pratique de défilé de certaines école sde samba. Nous décidons alors de chnager nos plans et d'aller rejoindre des milliers de personnes à Sapucai. avec un peu de difficulté nous parvenons à dénicher des places dans les estrades. les estrades etaient remplis de gens pauvres et festif qui n,auront probalement jamais la chance de se payer un billet pour voir le vra défilé lors du Carnaval. On écoutait à la radiola fin de match de soccer pour entendre que Flamengo avait fait une remonté historique et l,avait emporté 5 à 3, (troisi;eme déception) à la grande joie des milleirs de perosnnes présente. Ensuite, le défilé à commencer, c'étais l'école Grande Rio (qui a apr ailleurs terminé en 2e position dans lédition 2010 du Carnaval). L'atmsophère était incroyable et les gens chantaient, buvaient, dansaient au ryhtme de la musique. Roberta me montrait des vedettes bresiliennes qui défilait parmi les quelque 8 000 personnes sur la piste. Il ne manquait que les chars allégorique et quelques costumes pour pouvoir dire que jai assisté au célèbre Carnaval de Rio, mais sinon c'était hallucinant, une soirée magique au coeur du petit peuple carioca.

Un dimanche à Rio de Janeiro inoubliable parsemé d'embuche dont je vais me souvenir toute ma vie. Il est important de préciser que le sport me déteste pour avoir rater l'opportunité de voir un match d'une si grande rivalité au Maracana., mais étant donné ville merveilleuse et les cariocas des surprises, je n'aurais jamais assité à un défilé du Carnaval de Rio.

...

Louis

jeudi 25 mars 2010

Rio de Janeiro Jour 3

Le samedi ã Rio commence avec notre première expérience de Metro, pour nous rendre au Centre-Ville, Comme mentiinné dans la capsule précédente, la qualité de ce transport est irréprochable. Donc nous debarquons et nous nous retrouvons sur l'une des places principales ou se trouve plusieurs beaux batiments (Bibliothèque municipale, théatre etc), Mais l'objectif principale de cette matinée est de découvrir le quartier de Santa Thérèsa à l'aide du Bondinho, un espèce de tramway qui arpente le vieux quartier Carioca. Le Bondinho était bondé (jeu de mot ici) et traverse le quartier de Santa Thérésa pour terminer au pied d'une favelas. Rendu au bout, plusieurs petit vendeur viennent s,accrocher sur les coté de tramway avec leurs galcières. À la fois touristique et un moyen de transport le Bondinho s,est avéré un vrai coup de coeur, tant par son trajet dans le quartier de Santa Theresa, ses point de vue sur la ville, la proximité du peuple carioca. De plus, L,engin comme tel est tout à fait charmant, un train de plus plus de 100 ans, qui fonctionnent électriquement et qui ralenti la circulation des autobus et des voitures. En revenant au centre-ville on s'est promis de revenir decouvrir de facon plus approfondi le quartier de Santa Theresa. Nous avons également de revenir pour mieux decouvrir la centro, puisque la fin de semaine c,est désert, donc un brin dangereux.

Vers 2 heure, nous revenons à Copacabana et nous décidons de passer le reste de la journée à la plage du même nom. Un samedi de janvier ensolleillé = des milliers de personnes qui se font bronzé et se baigne sur la plage la plus connu du monde. Un réel plaisir d'observer le peuple carioca dans son élément. Mon coup de coeur de plage = les cnetianes de vendeur qui passe de chaise en chaise (tu loues te chaises et ton parasol) pour offri leur produit. Que ce soit de la nourriture Acai, bière, liqueur, chips, crevettes, sandwich, maté (the glacé), limonade, mais surtout les fameux et délicieux biscuit de farine Globo que l'on retrouve uniquement sur les plages de Rio et le queijo coalho, (un espece de petit fromage sur un bateau qu'il font grille sur un un petit four qu'il tansporte avec eux. Ils y ajoute de l'origan et c,est tout a fait suculent.

Le soir nous avions prévu faire quelque chose avec nos amis Camille (québécoise) et Mateus (brésilien) qu enous avions connu lors du projet en 2007. Avant nous sommes aller manger au Galeto, un espèce de St-Hubert brésilien, poulet, polenta, feijao, riz, banane, excellent. Apres, souper on les appels une 10aine de fois et on conclu qu'on s,est fait poser un lapin. on retourne a l,aubre pour voir ce que ls autres occupant ont comme plan pour la soirée. Je ne tiens pas a perdre mon seul samedi à Rio à ne rien faire. Apres avoir discuter avec un peu tout le monde, nous décidons d,aller assisté a ;'entrainement d'une école de samba, Salgueiro. Une fois arrivée sur les lieux, l,ambiance est incroyable, mais nous constatons que le prix d'entrée est de 50 reais par personnes (alors quon nous avait annoncé 15 pour les femmes et 20 pour les hommes). Ayant comme plan d'économiser de l'argent pour me permettre d'aller voir le match de soccer au Maracana le lendemain, nous décidons de ne pas entrer et de rester dans lambiance de la rue et de prendre quelque bière avant de rentrer.

Ce qui conclut ce samedi mémorable à Rio de janeiro

la suite demain

Beijos (xxxx)

lundi 22 mars 2010

Les transports

Voici le premier de plusieurs capsules thematiques sur different aspect de mon voyage au Brésil.

Transport

Le transport au Brésil est parfois complexe, mais toujours hyper efficace une fois que l'on a compris le fonctionnement. (Bien sur être avec une brésilienne facilité la compréhension).

- Metro: Les 2 grandes villes du pays, Rio de janeiro et Sao Paulo disposent d'un système de metro pratique et simple d,utilisation, enfin semblable à celui de Montreal sur le plan des lignes et orientations. Au niveau, des installation par contre, rien a voir, le Bresil nous devance. Air climatisé, beaucoup plus spacieux et large, plus de poteau pour se tenir, beaucoup moins bruyant, des banc de couleurs différente pour les personnes âgés,, handicapés et femmes enceintes, des wagons uniquement pour les femmes, bref ldu gros calibre.

- Bus en ville: dans les grandes villes, il n'y a pas d'horaire fixe, les bus passent à rythme tellementfréquent qu'ils ont pas besoins. Tous les numero ont un numero et c,est ecrit à l,avant leur destination finale et dans la vitre est inscrit les lieu principaux qu'il rencontrera sur son trajet. Quand on entre dans l'autobus, on doit payer au caissier, parce qu'il y a quelqun dans l'autobus a qui l'on paye, autre que le chauffeur. On paye ensuite on traverse le tourniquet et la personne nous remet le change de l,autre côté. Tout le monde descend par l'arriere. Le meilleur c'est que les personnes âgés de plus de 65 ans ne paye pas l,autobus et s,assoie sur les banc qui leur sont réservé avant de passer le tourniquet. Tout comme dans le Metro, des sièges de couleurs différente pourles même 3 groupes de personne mentionné précédemment en plus des obèses.

- Bus inter-municipalité: Ce n,est pas compliqué, au Brésil, il y a un autobus que va dans dans toute les villes. Il y a toujours un moyen de se rendre à la ville souhaité. Que se soit surlongue distance, distance moyenne ou courte distance, le confort est toujours bien et l'air climatisé , toilettes et eauéà 90% présent. Jai noté que parfois les brésiliens peuvent même se permettre de débarquer et meme embarquer un peu partout. Notamment dans le trajet de 10h entre Frorianopolis- et Porto Alegre, les gens débarquaient et embarquaient en pleine nuit au beau milieu de nulle part au bord de quleconque petite route. De plus, lors des trajets je dirais de plus de 4h, l'autobus fait toujours des escales dans des petits magasins-restaurant spécialement concu pour aprovisionné e nourriture, brevages et toilettes la clientèle autobussienne.

Taxi: Moi qui croyait que les chauffeurs de taxi montréalais n'était pas particulièrement sympathique, je n,avais pas encore vu ceux des grands centres brésiliens. Je préfère encore l es chauffeurs haitiens et les arabes de Montreal que les airs bête de Sao paulo, notamment. Parfois, ils fonctionnent avec un compteur, parfois on établit un prix à l'avance, mais peu importe la facon, je les soupconnes de toujours nous voler un peu, que ce soit en faisant des détours dans des vilels que nous connaissont pas ou en affirmant que ou l'on va est loin. Ils ont toujours l'air pressés que l'on débarque et ils ne disent généralement pas un mot tout au long du trajet.

Bon voilà pour les transports

À la prochaine


Rio de Janeiro Jour 2

Le vendredi 29 janvier,

L'itinéraire de la journée que j'avais planifié la veille dépandait de la température commencait à 10h. Alors que le ciet était dégagé nous avons profiter pour visiter d,entrée de jeu , L,une des 7 merveilles du monde moderne, le Cristo Redentor. Nous mous sommes rendu dans le quartier du Cristo en autobus. Dès l'arret d,autobus nous avons pu admirer la gentillesse des Cariocas. Il N,est pas évident de s'orienter dans un système d,autobus assez complexe, mais hyper efficace lorsqu'on le maitrise. Donc une femme a attendu avec nous pour nous dire quel autobus prendre, (elle a meme laissé passer son bus pour attendre le notre avec nous !!!). Dans l'autobus, même chose la dame a expliquer a Roberta quand descendre, quoi voir, bref trop gentil.

Une fois arrivé au Cristo, il y avait une file monstre et nous avons acheter notre billet de train (pour monter au sommet et etre au pied de la statue) et nous devions attendre jusquau train de 13h30. Nous avons profiter pour faire un petit tour dans la fôret de Tijuca environnante, considérer comme la plus grande forêt urbaine au monde. Une impressionnante jungle en plein milieu de la ville. à 1h15 lorsque nous sommes revenu à la sation de train, qui avons nous croisé...eh oui, encore les 2 matantes britanniques (nous n,avons jamais us leur nom. Le train comme tel (rempli de touristes argentins et italiens, nous plonge encore une fois dans la forêt de Tijuca. Après une 15aine de minute de train, nous arrivons au sommet et là encore des marches ou un ascenseur pour atteindre la fameux Christ. Beaucoup de monde, mais il y a suffisament d,espace pour avoir un point de vu à couper le souffle de la ville. C,est ca l,affaire, ce N,est pas tant le la statue qui est impressionante, mais plutot la vue que l'on a du sommet. D'en haut on voit, les plages, le pain de Sucre, la ville, le stade Maracana. Apres une petite demi-heure et de nombreuses photos nous sommes redscendu en train.

Après le Crsto, direction: Jardim Botanico. Des milliers d,arbres et plantes d'un peu partout à travers le monde. C,était bien, mais rien pour s'attarder sur le sujet.
Wn soirée nous sommes aller au restaurant manger un rodizio de Pizza (moment que j'attendais depuis septembre 2007). Rodizio = plusieurs serveurs passent de tablene table avec plusieurs diffrente saveur de pizza et moyennant un certains montant, bah tu en manges à volonté. Le point fort est également qu'il y a des pizza dessert (chocolat, chocolat blanc, banane, fraise) un vrai délice. Cependant, l,endroit oì nous sommes aller, bien que la pizza étais très bonne, le service était épouvantable, si bien qu'après un certains ils ne passeint plus à notre table. Toutes les tables étaient insatisfaites bref ca a gâché un peu le plaisir. Sinon reste de la soirée au Neuton Rooftop avec la bande d,argetin, chilien et brésilien (je vous parles plus en détail de cette troupe un peu plus tard).

Suite des aventures de Rio dans la prochaine capsule

PS. Voir les photos que se rattache à la cpasule

Tchau

jeudi 18 mars 2010

Rio de Janeiro Jour 1

Bonjour,

Le jeudi 28 janvier nous avons pris le traversier ã 10h pour arrivee Angra vers midi. Nous avons pris l,autobus ã 13h30 en direction de Rio de Janeiro. Nous sommes arrivée dans la ville merveilleuse à 17h. Les 2 femmes britishs etait avec nousdans le bateau ET l,autobus. Au terminal d,autobus nous avons partager un taxi avec un couple Australien qui se dirigeait dans le même quartier que nous: Copacabana. Notre tarif : 30 reais, le leur: 40 reais, simplement parce qu'il paralit anglais et no pas portugais, bien futés ces Cariocas (habitant de Rio). Le couple d'une 40 aine était en voyage en Amérique du Sud et central depuis 1 ans, et il avait visité plus d'une 30aine de pays et repartait pour Sidney le dimanche suivant.
Arrivée à notre auberge ca été le coup de foudre...FAUX. Le neuton rooftop était plutôt miteux. Notre chambre de couple était petite, il faisait chaud, la fenetre faisait 30 cm par 30cm, mais avant d,avoir vu la chambre de bain commune, moi came dérangeais pas trop. Après avoir vu cette derniere, Roberta voulait quitté l,endroit.Moi ca me dérangeait pas trop surtout qu'elle était bien situé et pas trop chère. Roberta a fait quelques recherches et téléphone pour trouver uun autre hotel mais soit, ils étaient complet ou beaucoup trop cher. Lui ayant expliqué qu'on était là seulement pour dormir et qu'on économisait elle s accepter d'y resté. Ce qu'elle avait peur en fait c,est davoir vraiment chaud dans les nuit chaudes de Rio a 40° et un mini-ventilateur, mais ce-derneir s,est avéré ultra efficace malgré son apparence et les nuits n'étaient pas SI chaude que cela finalement.
Après avoir fait le deuil d'un bel hotel romantique, nous sommes aller explorer les environs. Nous étions à 4 coins de rue de la plage la plus célèbre du monde: Copacabana. Au début, Roberta était beaucoup trop craintive, paranoiaque même, elle avait peur de tout et était nerveuse. Lorsqu,elle voyait 1 ou 2 jeune homme d'une vingtaine d,année elle disait,: « viens on va traverser la rue ». Même si il y avait plein dautre personnes et touristes autour. La crainte de Roberta commencait a me rendre nerveux. Arrivé à la plage, nous avons pris une petite bière et regarder les cariocas se divertir a la plage après une journée au boulot.(volleyball, soccer, handball et mon préféré: footvolley = volley ball sans les mains avec les pieds, le torse et la tête, sport typiquement bresilien et les cariocas en sont fous et tellement bons. Après un petit resto, pas très bon, cher et un peu trop touristique nous sommes rentré vers 22h. En revevenant, jaid it à Roberta de relaxer et d,arreter d,avoir peur pour rien et de profiter du fait qu'on est dans l'une des plus belle ville du monde. je pense que les bresiliens vivant a l,exterieur de sao Paulo et Rio on une forte image de la violence présente dans ces 2 grandes villes et ils ont entendu tant d,Histoires d'horreurs qu'ils ont un reflexe de se mefier en premier lieu. Rassurez-vous par la suite ca s,est replacé.. J'ai passé le reste de la soirée dans notre petite chambre humide a essayé de planifier notre planifier notre séjour dans la ville merveilleuse.

Prochaine capsule; Jour 2 à Rio et le Cristo Redentor

vendredi 12 mars 2010

Ilha Grande (au complet)

Le matin du lundi 25 janvier, nous quittions Paraty tót le matin.
Nous avons pris un petit autobus pour nous rendre ã Angra do Reis, 2h de trajet.
Une fois arrive a Angra nous devions prendre un traversier pour nous rendre a Ilha Grande. Cependant, nous ne savions pas que le traversier ne partait qu'à 15h30, donc nous avions environ 3h a attendre. Dans l'autobus, nous aviosn rencontré et aidé 2 bonne-femmes britishs d'une 60aine d'année. Elles étaient hyper sympathiques et elles venaient de la banlieue de Londres. Une fois arrivée a Ilha Grande, au village de Vila de Abrao, nous nous sommes directement rendu a notre auberge. Overnative green hostel, simple et charmant. Nous sommes sortis pour souper et ensuite nous avons pris cela relax a l'auberge a jouer au billard et aux cartes.

Le lendemain, mardi 26 janvier, nous partions pour une randonnee dans la jungle de l'ile. Le point culminant de ce sentier etait Praia Lopes mendes, considerer comme l'une des 5 plus belles plages du Brésil. Le sentier s'est avérer difficile parce que la veille au soir il avait plu, donc le sentier était bouetteux et glissant. Mais l'effort en valant la chandelle puisque la malgré le ciel nuageux, la Lopes Mendes c'est avéré magnifique, de part sa simplicite naturelle et les vagues de plus de 2metres qui s'y trouvait.Nous avons croisé les 2 british qui marchait sur la plage.Pour revenir, nous avons pris un autre sentier de 45minutes afin de prendre un petit bateau de pecheur pour retiurner a Vila de Abrao. Un petit tour de bateau qui permettait davoir d'autre point de vue sur l'ile. En soiree, apres u aure petit resto, autre soirée pluvieuse, donc cartes et billard avec les neo-zelandais, americains, argentins, francais, suedois qui occupait notre pousada (auberge).

Le mercredi 27 janvier, nous etions encore fatigue de la veille, donc nous voulions faire les petits sentier plus facile a proximite du village, mais finalement les sentiers se sont averer plus glissant et plsu difficile que la veille. Au passge nous avons vu, une plage au sable noir, une ancienne prison desclave et de malade, une chute (des gens payait pour descndre la chute en faisant de l'escalade). Une piscine naturel qui servait autrefois de baignoire pour les esclaves. Nous avons passer 1 ou 2 heures sur une petite plage près du vllage. En soirée, nous sommes aller une pizza et en quittant le resto, un homme assis à la table à côté de la notre avec sa femme, dit a Roberta: « tiens tiens, une québécoise pure laine » dans un francais impeccable. elle repond: « non c,est lui qui habite a montreal.» et lui dit : » cest très beau le quebec ». Ce type a fait ma soirée. Car tout au long du souper en écoutant sa conversation avec sa fiancé, on a pu comrpendre qu'il habitait a Buenos Aires. Il devait certainement etre très riche pour parler un francais aussi, avoir une maison a Buenos Aires et une à Rio de janeiro. Le soir, repos total après 2 jours bien remplis.

Le lendemain nous devions prendre le traversion vers 10h et qui nous avons vu dans la ligne.....eh oui les 2 britishs.

Donc direction la ville Merveilleuse

Prochaine capsule= Rio de Janeiro

Au revoir